Depuis le 1er février, Guillaume Laurin est président du directoire de NSE.
Depuis le 1er février, Guillaume Laurin s’affirme comme président du directoire et dirigeant de NSE France, aux côtés de Philippe de Lambertye (directeur administratif et financier) et Alain Rocher (directeur de la BU services). Un aboutissement logique pour celui qui a su évoluer à tous les postes de direction, depuis son entrée dans le groupe en 2012.
Après une formation d’ingénieur en école navale et à Supaéro, Guillaume Laurin trace son chemin professionnel dans l’aéronautique navale, à travers différents postes de direction technique pour la Marine nationale (1987 à 2006). Un parcours qui aiguise sa connaissance du monde de la défense, de la gestion de programme à l’international et du management en période de crise.
Une formation technique de haut vol complétée par un executive MBA
Guillaume Laurin suit ensuite un executive MBA à l’Essec et prend, en 2006, la direction développement d’ECT Industries, jusqu’au rachat de la société par le groupe NSE. Spécialisé dans la conception, l’intégration et les services d’équipements électroniques, le groupe NSE intervient sur l’ensemble du cycle de vie des produits en s’appuyant sur une forte présence à l’international (Inde, Canada, Brésil, Maroc et Hongrie).
« Prendre la direction de NSE après son créateur François Lacoste (ndlr : qui devient président du conseil de surveillance), n’est pas un défi mais un grand honneur. Nous partageons les mêmes valeurs qui cimentent notre entreprise : travail, rigueur, honnêteté, humilité et franchise. La complémentarité et la diversité des savoir-faire sont les richesses de notre société. Je m’attacherai à favoriser le travail collectif pour développer nos synergies et faire émerger des solutions nouvelles », précise Guillaume Laurin.
De grandes ambitions pour NSE
Le nouveau dirigeant annonce par ailleurs vouloir renforcer les activités de bureau d’études, accompagner le développement international de ses clients et décliner plus fortement les activités de service dans la défense. Sans oublier d’être, plus que jamais, « à l’écoute d’opportunités de croissance externe. »
Cet article a été publié dans le numéro 2279 de Bref Eco.